De Rabelais à Jacques Dutronc et de Montaigne à Raphaël Glucksmann : dans tout Français, il y a peut-être un cochon qui sommeille mais plus sûrement un intellectuel qui veille. Quelqu’un qui a des opinions sur tout et entend les faire partager, mais pas trop…
Héritier des clercs d’Ancien Régime, ce scribe naît et prospère dans la graphosphère ; vu à la télévision, il s’abîme un peu dans la vidéosphère et se disperse beaucoup dans le numérique et les réseaux sociaux. Et avec le chatbot, robot conversationnel, l’intellectuel terminal cède enfin la place au terminal intellectuel.
Mais aux dernières nouvelles, France is back : c’est un président frotté de philosophie qui l’a dit à Davos. En anglais dans le contexte.