Si la valeur des obligations émises par une banque décroit en raison de la méfiance des investisseurs, la banque comptabilise cette dépréciation comme un allègement de sa dette, ce qui… améliore son bilan ! C’est ainsi que Merrill Lynch, Citigroup et quatre autres banques US ont fait apparaître dans leurs livres 12 milliards de « revenus ». (Source : le Radar de Contreinfo.info, 4/6/08).
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A qui perd gagne
jeudi 5 juin 2008